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Par Claire-Cerise le 24 Février 2015 à 22:30
Le 27 juillet dernier nous sommes passés à Douarnenez en fin d’après-midi pour admirer les vieux gréements dans le port puisque ce jour-là, il y avait fête maritime (clic) !
Nous étions trop tard pour profiter pleinement de la fête alors nous nous contenterons de voir ce qu’il y avait à voir gratuitement et de loin ! Tant pis pour cette fois… l’an prochain, nous irons voir cela de plus près en nous y prenant plus tôt !
Les vues prises durant notre marche parleront certainement à notre aminaute Joseph (clic), qui a vécu quelques années à Douarnenez avant de se poser dans le Lot.
Nous voilà donc à déambuler et à regarder ! Notre escapade ne durera pas longtemps puisque des barrières nous empêcheront de poursuivre plus loin sans ticket. Nous ne serons pas les seuls à rebrousser chemin, un peu agacés ! Alors voilà… je vous soumets quelques vues avec quelques descriptions glanées de ci, de là…
Nous croisons tout d’abord une « cellule amusante » transportant visiblement une p’tite famille sympathique mais que nous ne verrons pas !
J’aurais bien voulu visiter pour voir comment l’on peut s’organiser dans une « cellule » pareille !
Nous longeons le bord de mer tout en admirant les quelques bateaux évoluant sur la Baie de Douarnenez.
Celui que nous apercevons au loin est la Recouvrance (clic), réplique d’une goélette de 1817, fabriquée dans les ateliers brestois.
En contrebas de la route, une crique protège une petite plage prise d’assaut par les baigneurs, en ce jour d’été 2014 qui fut beau en Bretagne. Et je crois bien que j’ai battu mon record de baignade cette année là, pendant que JF refuse toujours de faire quelques longueurs, depuis que nous sommes rentrés de Nouvelle-Calédonie, il y a de cela 21 ans !!! On dit que le breton est têtu… On dit vrai ! hi hi !
Ah, c’est sûr que la température de l’eau n’est pas la même ! Il nous est arrivé en ce pays lointain, de rentrer dans une eau trop chaude pour trouver du plaisir à s’y prélasser ! C’était en période cyclonique, mais quel délice le reste du temps, il faut bien le reconnaître !…
Devant nous, l’île Tristan émerge des eaux du port. Propriété du Conservatoire du littoral, elle est visitable à partir du port de Tréboul, à bord d’un bateau électrique qui assure la liaison entre le continent et l’île. Gilles, garde communal depuis 30 ans dans l’île, est le seul à disposer des clés. À sa suite, on peut visiter l’ancienne sardinerie (clic) qui fut l’une des 34 conserveries du littoral. Quant à la maison de maître qui se dresse à côté, elle était occupée par un industriel lorsque la sardinerie était en activité.
Comme souvent en Bretagne, ces lieux renferment une légende : « Un secret y serait bien gardé. Un trésor aurait été caché par le Seigneur de la Fontenelle. Ce maître de guerre sanguinaire a utilisé l’île vers 1595 pour y installer ses hommes et préparer ses pillages sur le littoral. Personne n’a retrouvé le butin accumulé. Le véritable trésor est peut-être le plaisir éprouvé en découvrant la sérénité et les beautés de l’île ! » Nous continuons notre marche en longeant le port.
Au dessus, la ville de Douarnenez s’impose ! C’est là que notre aminaute Joseph habita quelques années en famille.
Je vous laisse lire ce qu’il raconte lui-même dans son blog au sujet de cette fête maritime (clic) illustrée de ses magnifiques photos et ce qu’il dit de sa mutation professionnelle (clic) avec d’autres clichés sur le même sujet.
C’est à peu près à cet instant de notre promenade que l’on se cassera le nez sur les barrières obligeant les visiteurs à passer par la caisse. Ce sera donc pour une autre fois en ce qui nous concerne… Après avoir retrouvé la voiture, nous passons sur le pont sous lequel se déroule la fête autour des vieux gréements rassemblés.
Il est sûr que l’ambiance doit être sympathique et nous nous promettons de nous y mêler la prochaine fois ! Nous poursuivrons notre route un peu plus loin en se rapprochant de la côte pour pouvoir admirer la Baie de Douarnenez.
C’est sur ces dernières vues que nous finirons notre promenade du jour !
Et mardi 3 mars…
On dirait l’île de Pâques, mais ce n’est pas l’île de Pâques…
Claire-Cerise
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